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HAN KANG... SPIEGHIAMO UN PO'... CAPIAMOCI!
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"Mi costringo a non dimenticare mai
che ogni singola persona che
incontro appartiene alla razza umana "
Eh...
Il tempo,qui è un'onda,grande...
Forte e tante volte,anomala che
trascina con sé tutti gli esseri...
Umani non so se lo sono tutti umani,
ma porta via tutti e tutto...
Anche chi vive con un solo respiro,
come gli alberi che con il sole
prendono un'unica boccata d'aria e
di sera espirano un unico sbuffo
di anidride carbonica...
Magari anche le persone fossero così magnificamente semplici e vitali e
Se non ci accomunasse come specie,
l'esperienza della crudeltà, forse...
Forse risulteremo umani per davvero!
E così ,il dolore da buco che inghiottisce
e da fonte di paura...
Diverrebbe una vera pace silenziosa.
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HAN KANG... LET'S EXPLAIN A LITTLE... LET'S UNDERSTAND EACH OTHER!
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"I force myself to never forget
that every single person I
meet belongs to the human race"
Eh...
Time, here is a wave, big...
Strong and many times, anomalous that
drags all beings with it...
I don't know if all humans are human,
but it takes everyone and everything away...
Even those who live with a single breath,
like trees that with the sun
take a single breath of air and
in the evening exhale a single puff
of carbon dioxide...
If only people were so magnificently simple and vital and
If it didn't unite us as a species,
the experience of cruelty, perhaps...
Perhaps we would turn out to be truly human!
And so, the pain as a hole that swallows
and a source of fear...
It would become a true silent peace.
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HAN KANG... EXPLIQUONS UN PEU... COMPRENONS !
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"Je me force à ne jamais oublier
que chaque personne qui
la rencontre appartient à la race humaine"
Euh...
Le temps est une grosse vague ici...
Fort et souvent anormal
entraîne tous les êtres avec lui...
Humain, je ne sais pas s'ils sont tous humains,
mais cela enlève tout et tout le monde...
Même ceux qui vivent d'un seul souffle,
comme les arbres avec le soleil
ils prennent une seule bouffée d'air et
le soir, ils expirent une seule bouffée
de dioxyde de carbone...
Si seulement les gens étaient si simples et si vivants et
Si cela ne nous unissait pas en tant qu'espèce,
l'expérience de la cruauté, peut-être...
Peut-être que nous deviendrons réellement humains !
Et ainsi, la douleur du trou qui avale
et une source de peur...
Cela deviendrait une véritable paix silencieuse.
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Natalia Castelluccio
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